2015-10-21
Questions sur les cultures digitales
https://vimeo.com/134327664?utm_source=&utm_medium=&utm_campaign=
Une entrevue avec Martina Leeker à Lüneburg, Allemagne sur les cultures digitales au département universitaire DCLR: Digital Cultures Research Lab
Prof. Dr. Martina Leeker
Theater- und Medienwissenschaftlerin
Senior Researcher Digital Cultures Research Lab (DCRL/CDC)
Leuphana Universität Lüneburg
* http://cdc.leuphana.com/
* http://cdc.leuphana.com/structure/digital-cultures-research-lab/
2015-08-11
La Edad de oro de lo digital
Llegará
un día donde sintamos la nostalgia de la era dorada
de lo
digital y de su exotismo. Así va el yo-yo de nuestros deseos
y
evasiones, desde hace tiempo. Una especie de balance mítico
de
nuestro apego fetal y de nuestra conquista de autonomía, de
nuestro
culto de la unidad y de nuestras invenciones de héroes en
los
cuales encarnamos, de nuestro conservatismo y de nuestras esperanzas
de
divergencia.
La
naturaleza a la que le tememos tanto llegó en el siglo XIX
con el
rostro de una ninfa romántica; ya ahora, ella gira hacia lo
político
en los días laborables y descansa con nosotros los fines de
semana.
¿Qué parecerá el realismo cuando haga su reaparición
en
escena? ¿La instrumentación de una nueva materia prima? ¿O
una edad
de oro perdida, como en la película Soylent Green de Harry
Harrison
y Richard Fleischer? ¿Lo usaremos como una droga, como
los
alpinistas extremos? ¿O haremos una ficción metafísica? ¿Crearemos
zonas
protegidas, bajo inmensos domos de plástico, reservados
al
turismo recreativo y a las especias en peligro de extinción?
¿O este
retorno del realismo tomará la forma de dolor y guerra? ¿O
de
explotación de los débiles? ¿De una dictadura?
2015-06-21
La divergence du futur, compte rendu de Jean Carette
- JUIN 2015
- COMPTES RENDUS DE JUIN 2015
- JEAN CARETTE
- IMPRIMER
- COURRIEL
Hervé Fischer. La divergence du futur
Hervé Fischer
La divergence du futur, VLB éditeur, 2015, 237 pages
La divergence du futur, VLB éditeur, 2015, 237 pages
Dans le paysage souvent étiolé des intellectuels québécois, Hervé Fischer est un personnage hors du commun et un créateur original. Avec La divergence du futur, il publie chez VLB un essai percutant qui a le grand et rare mérite de donner de quoi penser.
Hervé Fischer fait partie des philosophes qui ont le bel avantage d’éclairer les bouleversements sociaux et culturels que nous vivons aujourd’hui et de nous dessiner un avenir possible. Depuis ses débuts, l’humanité réalise des progrès et des gains, par sauts qualitatifs et révolutions néguentropiques, entre deux reculs ou catastrophes. Alors que nous pourrions être tentés par un pessimisme largement répandu, Hervé Fischer aborde ce qu’il appelle le « choc du numérique » comme une crise majeure, mais positive, qui nous oblige à choisir entre le pire et le meilleur. Le temps présent est celui de l’écartèlement entre les risques de l’aliénation finale et les chances de libération à saisir, après les avoir analysées, en avoir débattu et les avoir traduites en saines politiques de développement collectif. Le monde change, à haute vitesse, et nous pourrions y trouver les occasions d’y mieux vivre et d’y mieux être :
Le passage de l’âge du feu à l’âge du numérique demeure ambivalent, en ce sens que le progrès qu’il nous fait espérer dépendra de l’usage que nous ferons de sa présence.
Entre la fin du monde annoncée et le commencement d’un nouveau monde à faire, Hervé Fischer nous conjure de choisir la voie des changements urgents et nécessaires pour survivre et renaître, d’une génération aux suivantes. Notre vaillant philosophe n’hésite pas à nous concevoir au futur comme des dieux ayant accompli une mutation aussi décisive que nécessaire : nous serons enfin passés des passions primitives des dieux de la Grèce antique, animés par des instincts de base, Eros et Thanatos, bien sûr, auxquels Fischer ajoute Prométhée, aux dieux accomplis et enfin parachevés qui honoreront la nature et la justice. Cette chance renouvelée n’est pas automatique; elle est ici pensée comme une perspective éthique globale. Le monde à venir d’Hervé Fischer est présenté et proposé comme un projet, sans cesse fait et à refaire, d’une divergence à l’autre, à discerner. Ce qui est ici esquissé relève du libre pari et de nos volontés collectives bien orientées vers les traitements collectifs adéquats.
Hervé Fischer se pose en philosophe essayiste qui documente et argumente, démontre et fait penser, et témoigne activement pour que la raison ait raison. Mais, il est aussi un artiste créateur et son livre est un levier majeur pour réveiller notre propre créativité, une invitation pressante et enjouée à l’innovation à la fois mentale et poétique. Ce n’est pas un hasard si sa thèse de sociologie traitait des couleurs : Hervé Fischer est un impressionniste qu’il faut prendre au sérieux.
Nous appelons couramment prophètes ces sorciers populaires qui anticipent et prédisent les temps à venir; alors qu’ils sont plutôt des agents sociaux critiques qui parlent au nom des opprimés pour les remettre à l’avant de l’histoire, vers une justice à conquérir de haute lutte et une éthique à reconstruire, non à restaurer, mais à inventer. J’ose dire que la lecture attentive et fidèle des œuvres de Fischer, plus quelques entrevues mémorables en radio ou en studio, m’ont convaincu que nous avons ici affaire avec un prophète de la postmodernité heureuse. À lire, absolument.
Jean Carette
Professeur retraité de l’UQAM
Professeur retraité de l’UQAM
2015-06-12
il n'y a rien qui vieillisse plus vite que le numérique
Il n'y a rien qui vieillisse plus vite que le futur. C'est évident en tout et en particulier pour les innovations numériques, à un rythme qui paraît souvent infernal, poussé par la logique techno-commerciale du marché.
Il n'y a rien qui vieillisse plus vite que le progrès technologique. Rien, au contraire, qui se concrétise plus lentement que le progrès humain.
2015-05-28
La clocherie numérique de la smartchurch
Avec un téléphone intelligent, avec un laptop, on se croirait à la messe. Sonneries rituelles et régulières pour nous annoncer l'entrée d'un courriel ou d'un texto comme si c'était le saint-esprit qui se manifestait ou lors de l'élévation à la messe qui nous convoque. On lève les yeux au ciel, on baisse la tête, mais on reste assis. Et on est prêt pour recevoir le message de l'ange Saint-Michel. Clocherie numérique: ainsi se manifeste à nous la divine présence. Ne parlons plus du désenchantement du monde : Le numérique l'a réenchanté religieusement. Nous sommes ses fidèles paroissiens, toujours fidèles à l'office, sauf lorsque nous nous endormons du sommeil du juste. Mais au réveil, le numérique nous appelle avant même le café pour nous remettre en communication avec l'église intelligente: la smartchurch où flottent nos âmes en état de grâce.
Je crois en toi, Numérique tout puissant, Intelligence suprême à laquelle rien n'échappe, SmartGod qui règne sur le ciel comme sur la terre et pour toujours.
2015-05-27
A Skype Family
Un fils à Beijing, un autre à Los Angeles, le troisième à Hong Kong, et moi-même à Montréal : c'est ce qu'on peut appeler une famille Skype. Le cas est de plus en plus ordinaire. Mais sans Skype, ce serai une famille dispersée en perte de communication. Skype permet l'échange en temps réel, intime, direct, comme autour d'une table de famille avec les enfants et les petits enfants, un jour d"anniversaire, un matin de cadeaux de Noël, mais aussi sans autre événement particulier. Restent les décalages horaires, à prendre en compte pour ne pas déranger à contre-temps ou demeurer sans réponse.
Voilà bien une technologie de notre temps planétaire, de notre temps planétaire familial devrais-je même dire, une magie incroyable qui devient une quasi-banalité. Il faut savoir encore s'en étonner. Elle donne une précieuse intensité aux rapports familiaux. Une technosentimentalité qu'il faut savoir célébrer. Qui aurait dit qu'un code bianire pourrait intervenir si directement, si intimement dans nos vies?
Voilà bien une technologie de notre temps planétaire, de notre temps planétaire familial devrais-je même dire, une magie incroyable qui devient une quasi-banalité. Il faut savoir encore s'en étonner. Elle donne une précieuse intensité aux rapports familiaux. Une technosentimentalité qu'il faut savoir célébrer. Qui aurait dit qu'un code bianire pourrait intervenir si directement, si intimement dans nos vies?
2015-04-25
Transparence numérique?
Une société transparente ? acrylique sur toile, 91 x 91 cm, 2015
Quelle
société numérique ? Transparente?
What kind
of digital society? Transparent?
Was für eine digitale Gesellschatf? Durchsichtig?
¿Qué tipo de
sociedad digital? ¿Transparente?
数字美术
2015-04-24
2015-04-20
Une société numérique sera-t-elle planétaire?
Une société planétaire, acrylique sur toile, 91 x 91 cm,
2015-04-14
Quelle société
numérique voulons-nous ? Planétaire ?
What kind
of digital society do we want? Planetary?
Was für eine digitale Gesellschatf wünschen wir? Planetarisch?
Que tipo de
sociedad digital deseamos? Mundial?
我们想要什么类型的数字社会?一个全球社会. 布面油画,91 x 91 cm
数字美术
2015-04-13
Conscience augmentée et hyperhumanisme à l'âge du numérique
À l’occasion du 10e anniversaire de l’AHQ
Au Centre humaniste du Québec,
1225 boulevard St-Joseph Est, Montréal
le samedi 6 juin 2015 à 13 h
(admission : $ 15.00 ($10 pour les membres), ouvert au public)
Conférenciers :
Daniel Baril, anthropologue : La religion, ou l’usurpation de l’humanisme
Cyrille Barrette, biologiste : La vraie nature de la bête humaine
Claude Braun, neuroscientifique : Écologie et humanisme
Hervé Fischer, philosophe :Conscience augmentée et hyper humanisme à l’âge du numérique
Marc Harvey, architecte : Une inflation humaniste à l’origine de l’humanité
Rodrigue Tremblay, économiste : Les excès de la mondialisation économique, commerciale et financière
2015-04-09
Urgence numérique - Urgencia digital
#Tweetphilosophie: un code QR qui se scanne ainsi, à diffuser: Si nous ne croyons pas en l'être humain, il n'y a pas de solution.
#Funglode: Si no creemos en el ser humanono, no hay solucion!
#Funglode: Si no creemos en el ser humanono, no hay solucion!
2015-03-26
L'homme numérique
Variations 2000-2014
Je suis un autre avait déjà affirmé Rimbaud, un autre qui m'échappe, car je n'ai aucune conscience de mon être en soi, mais je me vois comme un autre parmi les autres qui m'identifient. Je me regarde être, en dehors de moi, qui est là - Da-sein, être là, disait Heidegger - me projetant dans le monde, jadis analogique, aujourd'hui numérique. Et mon image change avec les époques du miroir social
2015-03-19
Le mirage numérique
À bicyclette dans le cybermonde, acrylique sur toile, 122 x 181 cm, 2012
Le numérique ? Le numérisme en 2D, en 3D ! En IMAX ? Immersif ! Interactif ! Mais ne serait-ce pas un nouveau mirage, comme l’oasis pour le Bédouin qui l’aperçoit du haut de son chameau dans les dunes sèches ? Et pourquoi croyons-nous tant à son illusion ? Par rapport au réel qui s’identifie au présent, la nouveauté qu’incarne le futur est-elle une panacée ? Il est permis d’en douter. Je trouve plus d'analyses pertinentes et approfondies dans les "vieux" journaux et magazines que dans l'internet qui mise sur l'événementiel et l’émotion. Je passe quotidiennement autant d’heures le nez dans des livres que sur mon écran. Car pour prendre le temps de réfléchir, de comprendre, il ne suffit pas de se faire remplir comme un pichet au robinet numérique qui coule à flots. Qui a dit qu’il faut penser vite pour penser bien ? C’est Bill Gates, un vendeur de logiciels.
Certes, je ne circule
plus en ville à cheval, mais je prends le métro. Je n’écris plus avec une
machine à écrire ; mais deviendrai-il désuet de marcher ou de lire un
livre ? De consulter une revue spécialisée, de fermer sa télévision et de
regarder la nature ? Faut-il consentir à se laisser hypnotiser par
l’agitation vibrionnante du numérique ? Se laisser aspirer par une société
écranique qui se déréalise encore plus que la « société du
spectacle » que dénonçaient Guy Debord et l’Internationale
situationniste ? Le numérique n’est pas sans vertus évidentes, qui
deviennent même incontournables. Mais pourquoi nous piège-t-il comme une
drogue ? Pourquoi crée-t-il chez chacun de nous, même les plus autonomes
et les plus lucides, un tel excès de dépendance ? Pourquoi lui
accordons-nous une place centrale dans nos vies ? Pourquoi en faire un
parti pris si exclusif qui transforme sa puissance en défaut - je veux dire un manque d’attention envers la
réalité, un divertissement par rapport aux expériences existentielles intenses ?
Certes, les nouveaux
médias sont imbattables pour la vitesse et pour les « utilités »,
mais la lenteur des vieux médias, la lenteur de l’esprit demeurent absolument
nécessaires.
Croyons-nous
encore que les mirages sont des
apparitions du réel ? Pas
de réalité : pas de mirages. Le Bédouin déchante en voyant reculer à
l’horizon le mirage. Ce n’est que dans l’oasis réel qu’il pourra se
rafraîchir et se reposer pour de vrai.
Le virtuel nous annonce-t-il la réalité qui nous attend et
fera notre bonheur ?
2015-03-16
Comment Internet affecte notre psychisme
Extraits
d’un article de Pascale Senk dans Le Figaro du 16 mars 2015 -page Santé psychologie:
Le
philosophe et artiste Hervé Fischer, qui signe l’un des
essais les plus intéressants
du
moment sur La Pensée magique du Net (Éd. François
Bourin), considère lui aussi que si les
jeunes sont « les plus vulnérables » à l’aliénation
rendue possible par le Net, car ils
mesurent leur existence à leur
occurrence sur les réseaux sociaux, cela
concerne aussi les adultes : « On peut avoir le sentiment qu’on a une vie sociale parce qu’on a des centaines d’amis sur le Net, ou qu’on est très actif et entreprenant parce qu’on échange sans cesse des commentaires et des informations numériques, explique-t-il.
Le retour au réel est alors encore plus difficile. On
vit une pseudo-réalisation de soi, virtuelle elle aussi, et la “descente” de ce nouvel “opium du peuple” peut faire très mal à
ceux qui ont une existence déjà frustrante sur bien des points. »
Mais on peut aussi se demander : pourquoi un tel impact ? Pour Hervé
Fischer,
si Internet est
aussi « addictif »,
c’est parce que la
société « écranique »
réveille nos plus
grandes mythologies,
dont le rêve de
retourner en un seul clic à
la matrice
collective et de se perdre alors dans
le sentiment océanique d’appartenir à la communauté humaine. « Ce qui compte, c’est
d’être là, explique
le philosophe.
On poste un tweet et ça y est, on se sent exister. » (…)
Versants positifs de cette « nouvelle religion » ? « 24 heures sur 24, les individus de plus en
plus solitaires peuvent quand ils le veulent se relier aux autres », observe Hervé Fischer. Et, tout aussi réjouissant, chacun peut
gagner
en « conscience
augmentée », notamment en se promenant de liens en liens pour approfondir ses connaissances.
Désormais, c’est certain, grâce à la Toile, on ne pourra plus dire « qu’on ne savait pas ».
2015-03-10
Quelle société numérique voulons-nous?
Quelle société numérique
voulons-nous ? Tweet art, 2015
Scanner s’il vous plait l’image
et y répondre en urgence QR
What kind
of digital society do we hope? Please scan the image and send a Quick Response
answer
Was sollte die digitale Gesellschaft sein?
Bitte scannen sie das Bild, um eine QR Antwort zu schicken
.
¿Qué tipo de sociedad digital deseamos ? Por favor escanea la imagen y manda
une respuesta QR
我们想要什么类型的数字社会?扫描画面,立刻用二维码做出回应
2015-03-03
“Les images du numérique” Histoires et futurs des images produites par ordinateur colloque à l'ENSAD, Paris
APPEL À COMMUNICATIONS
“Les
images du numérique”
Histoires
et futurs des images produites par ordinateur
Colloque
organisé par EnsadLab/EN-ER/Hist3D, Paris, 16 et 17 novembre 2015
Depuis 2007, date de création d’EnsadLab, les travaux du Programme
de Recherche Hist3D se sont portés sur l’histoire des images de synthèse
en France et de leur influence à l’échelle mondiale, influence pourtant
méconnue. Un corpus important et unique s’est constitué au fil du temps avec la
collecte d’archives diversifiées et la création de contenus ad hoc,
notamment de nombreux témoignages des principaux acteurs de cette aventure
collective. Cette histoire questionne l’actualité et les évolutions à venir des
“images numériques”.
Comment les images produites par informatique ont-elles modifiées
les pratiques dans les sciences et dans les humanités et comment ces dernières
les font évoluer ?
Quelles conséquences ces changements ont-ils eu sur la création,
l’ingénierie, la science et la diffusion des connaissances ?
Ces histoires récentes, vécues directement par la plupart des
praticiens en exercice actuellement, peuvent-elles permettre de comprendre et
d’anticiper les évolutions actuelles des pratiques numériques ?
Les chercheurs comme les professionnels des différents domaines
concernés sont invités à partager leurs travaux et leurs expériences. Les
débats pourront s’articuler autour de deux axes de réflexion :
1. Quelles histoires ?
·
Les propositions de communication (3 000 signes environ, espaces
compris) doivent être envoyées par courriel à : ensadlab.hist3d@listes.ensad.fr
avant le 3 mai 2015.
·
Accompagnées d'une courte biographie du (des) auteur(s).
(Attention pas plus de 7 Mo de
pièces jointes.)
La réception de chaque
proposition donnera lieu à un accusé de réception par mail.
Calendrier
• 3 mai 2015 : date limite
d’envoi des propositions de communication
• 30 juin 2015 : notification
d’acceptation
• 16 et 17 novembre 2015 :
colloque
Comité scientifique
Annick
Bureaud (Leonardo/Olats)
Chantal
Duchet (IRCAV - Université Paris 3)
Hervé
Fischer (Cité des arts et des nouvelles technologies de Montréal)
François
Garnier (EnsadLab - École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de
Paris)
Pierre Hénon (EnsadLab - École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris)
Pierre Hénon (EnsadLab - École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris)
Christian
Jacquemin (LIMSI - Université de Paris sud)
Emmanuel
Mahé (EnsadLab - École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris)
Roger
Malina (Université du Texas)
Gérald
Péoux (IHMC/ENS-CNRS)
Matthieu
Piel (Institut Curie, Institut Pierre-Gilles de Gennes)
Marie-Hélène
Tramus (ATI - Université Paris 8)
Comité d’organisation
Cécile Welker
Pierre Hénon
Renaud Chabrier
Ce
colloque est organisé avec le soutien du Labex ICCA, et le partenariat de la
Fédération Internationale des Associations de multimédia, de l’Institut de
recherche sur le cinéma et l'audiovisuel, Paris ACM SIGGRAPH, et la Société des
Arts technologiques.
2015-02-17
Qu'aurait pensé Socrate des objets connectés ?
C'est la question que m'a posée Laura Jane Gautier en entrevue sur
DECIDEURS TV / Web TV - Communication audiovisuelle, le 3 février dernier.
Voir l'entrevue à:
2015-02-11
Le numérique est-il le conte de fées du XXIe siècle?
Hervé Fischer avec Dominique Boullier
On peut retrouver l'enregistrement de cette entrevue à:
2015-02-03
Qu'est-ce que Socrate aurait pensé des objets connectés?
Un entretien d'Hervé Fischer avec Laura Jane Gautier sur Décideurs TV, le 3 février 2014
2015-01-01
La pensée magique du Net
Ma poche couine, ma main sonne, la table vibre, mon oreille résonne: ce sont les messages et les courriels, les alarmes et les tweets qui rentrent, qui me rejoignent, m’excitent, me stimulent ou me harcèlent et m’obsèdent constamment. Mon style de vie a changé depuis que j’ai un téléphone intelligent. L’âge du numérique qui émerge est plus puissant que l’âge du feu. Mais aussi plus humain. Il réactive nos mythes les plus profonds et nous aspire dans la magie de ses mondes virtuels. Face à la vieille réalité, sommes-nous des cyberprimitifs heureux? L’auteur propose une mythanalyse de nos emballements numériques et de ce qu’ils modifient en profondeur dans la société et dans nos manières de penser. Une exploration envoûtante.
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